vairon (suite)
(...) Les études récentes du Pr Biddùl, à l’inverse, partent du postulat que ce type de données génétiques (innées) ne saurait influer sur le développement intellectuel et affectif des sujets (acquis). Il soutient que les interprétations couramment admises relèvent autant de superstitions ancestrales que de pré-requis culturels et subjectifs. Ses études, réalisées dans des conditions validées par le Haut-Conseil Scientifique (H.C.S.), ont mis en lumière le caractère strictement aléatoire et a-signifiant de ces rares « incidents de parcours » génétiques, pour reprendre sa propre terminologie. (par ekwerkwe)