2 mars 2010
Edito de mars
Poussées par les vents solaires, les âmes voletaient, légères et blanches comme des phalènes. Elles flottaient, immatérielles, dans l'espace infini et vide. Le vide... justement, le vide. Les âmes s'y ennuyaient. Maussades, ternes. Elles se laissaient...